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Après 26 heures divisées sur 6 séances matinales et vespérales pendant lesquelles 66 députés ont pris la parole, le Conseil des députés a enfin octroyé sa confiance au nouveau gouvernement. De fait, 121 députés sur 128 ont accordé leur confiance au gouvernement de Saad Hariri, une confiance "record" politique, arabe et internationale garantie.
Tout au long des séances de vote de la confiance, la clause relative à l'arme de la Résistance était la "star". Les députés chrétiens de la majorité et ceux du courant "Futur" ont alterné à attaquer, ayant recours à différents tons, cette arme dans une tentative à désarmer la Résistance. Cependant, leurs efforts ont été infructueux. Malgré les réserves et les préservations émises, la Résistance et son arme demeurent au cœur de la déclaration ministérielle du gouvernement d'union nationale et d'entente.

Dans ce cadre, le journaliste Nicolas Nassif a souligné dans son article publié dans le quotidien Al-Akhbar que " la confiance en la déclaration ministérielle s'avère une confiance en toute clause y présente notamment celle relative à la Résistance tant que la confiance ne peut être divisée pareillement à la déclaration ministérielle qui ne morcelle pas ses paragraphes. Par conséquent, tous les députés sont concernés à défendre la déclaration ministérielle en totalité."
" Dans les prochains jours, les Libanais vont faire face à des nouvelles hypothèses offrant un argument supplément que la clause de la Résistance formerait un principal pilier de la politique étrangère du Liban. "

De sa part, le quotidien "Annahar" a indiqué que " l'élément le plus distingué s'est incarné dans la "massive force" qui a garanti au gouvernement cette confiance record malgré la présence des objections, des réticences et des préservations à l'encontre de la clause de la Résistance." De même, il a considéré que "cette confiance ouvre une page d'expérience puissante singulière dans laquelle le gouvernement a joui d'un soutien quasi-consensuel des blocs et des forces principaux du Parlement. Par suite, cette énorme confiance a reflété le caractère "horizontal" du compromis politique lançant ainsi le gouvernement aux vents de l'expérience pratique et des approches quotidiennes de l'exécution de ses engagements présents dans sa déclaration ministérielle."

Aujourd'hui, le nouveau gouvernement se livre de fait à pratiquer ses actions. Néanmoins, il semble que son ordre de jour serait surchargé.
A part la crise de la circulation qui préoccupe les citoyens, maints sujets touchant directement la vie du Libanais sont flottés à la surface.
 Le quotidien "Assafir" a dévoilé d'autres dangers incarnés dans la présence des viandes pourries dans les marchés, le filtrage de fuel, les victimes sur les autoroutes et dans leur boulot…"
Sur le plan régional, le quotidien a souligné que " la visite du M. Hariri en Syrie pour normaliser les relations bilatérales s'avère une priorité sur l'ordre de jour du gouvernement."
 Au temps où certains ont prétendu que cette visite aurait lieu lundi prochain, le quotidien "Annahar" a rapporté des sources éminentes que "la date de cette visite n'est pas encore fixée et que les contacts menés dans cet ordre se poursuivent."
        

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