Berri aux critiqueurs de l’abolition du confessionnalisme politique: l’annuler maintenant pour la survie du Liban

Le chef de l'Assemblée Générale Nabih Berri s'adresse aux critiqueurs de l'abolition du confessionnalisme politique, en leur disant "le Liban fait face à deux ennemis, le confessionnalisme politique à l'intérieur et "Israël" à l'extérieur".
Dans un interview accordé au quotidien "Ashark-el-Awsat" Berri affirme que "le Président Michel Sleimane est l'un des soutenants de mon idée (l'abolition du confessionnalisme politique)". Par ailleurs, M. Berri confirme que son idée sera réalisée étape par étape: "appliquer la décentralisation administrative, la mise en place d'une nouvelle loi électorale conformément à l'accord de Taëf et la création d'un conseil de Sénats", se disant optimiste du futur des Libanais.
