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Pezeshkian: Les forces armées iraniennes ont infligé une punition «sévère et historique» à «Israël»

Pezeshkian: Les forces armées iraniennes ont infligé une punition «sévère et historique» à «Israël»
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Par AlAhed avec agences

Le président iranien Massoud Pezeshkian a déclaré mardi que l’entité «israélienne» avait été contraint de mettre fin unilatéralement à son agression contre la République islamique après avoir subi une punition «sévère et historique» de la part de la nation iranienne et de ses forces armées.

Il a tenu ces propos dans un message adressé au peuple, saluant la grande nation iranienne pour sa «courageuse ténacité» qui a ouvert la voie à la victoire.

«Toute la fierté attribuée à cette victoire revient à la grande nation iranienne, fière de son héritage civilisationnel», a-t-il ajouté.

«Israël» a mis fin à sa guerre d'agression de 12 jours contre l'Iran aux premières heures de mardi, après avoir subi de lourdes pertes de la part des forces armées iraniennes.

Au cours des 22 phases de l’opération «Promesse honnête III», les forces armées iraniennes ont lancé des centaines de missiles balistiques, dont des projectiles à ogives multiples, et des drones sur des sites militaires «israéliens» stratégiques dans les territoires occupés, y compris les bases utilisées par l’occupation pour lancer ses attaques contre l’Iran.

M. Pezeshkian a déclaré que les pertes subies par l'ennemi suite aux représailles iraniennes étaient «inimaginables», malgré l'intense censure médiatique imposée par l’entité «israélienne».

Selon le président iranien, c'est l'aventurisme et l'attitude belliciste d’«Israël» qui ont déclenché la guerre, et c'est la grande nation iranienne qui y a mis fin en affrontant l'agresseur et en le forçant à battre en retraite.

Ces déclarations interviennent un jour après que des médias américains ont rapporté que l’entité sioniste avait demandé à l'Iran, par l'intermédiaire de médiateurs occidentaux, de cesser ses attaques de représailles, alors que les dégâts causés par les tirs de missiles iraniens incessants dans les territoires occupés étaient considérables.

L'arrêt unilatéral de l'agression «israélienne» contre l'Iran a été annoncé par le président américain Donald Trump aux premières heures de mardi.

La veille de cette annonce, les forces armées iraniennes ont tiré une salve de missiles sur Al-Udeid, la plus importante base militaire de Washington en Asie de l’Ouest, située au Qatar.

Il s'agissait d'une riposte à l'agression américaine contre les sites nucléaires iraniens, en violation flagrante du droit international.

Selon le président Pezeshkian, les agresseurs ont échoué dans leurs objectifs de détruire les infrastructures iraniennes et son énergie nucléaire pacifique et d’inciter aux troubles sociaux.

Outre cet échec, le mythe de l’invincibilité de l’entité «israélienne» s’est brisé par la puissante riposte iranienne: il s'est retrouvé confronté à «une destruction massive de ses installations clés et de ses centres stratégiques», a souligné le président iranien.

La situation générale, a-t-il ajouté, porte un message clair: «Le coût de l'aventurisme contre la grande nation iranienne est extrêmement lourd.»

M. Pezeshkian a rappelé que l'agression contre l'Iran avait eu lieu alors que la République islamique menait des négociations diplomatiques pour éviter une confrontation militaire.

Il faisait référence aux pourparlers indirects entre l'Iran et les États-Unis, sous la médiation d'Oman, qui n'ont pas abouti en raison des exigences excessives de Washington.

«L'histoire n'oubliera pas la trahison et les promesses non tenues des ennemis de l'Iran, qui ont recouru à l'agression et à l'invasion alors même qu'ils étaient assis à la table des négociations», a-t-il déclaré.

«Israël» a lancé son agression contre l'Iran deux jours seulement avant la sixième série de pourparlers indirects prévue à Mascate, qui a finalement été annulée.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui est également le négociateur en chef sur le nucléaire, a déclaré que les pourparlers ne pouvaient avoir lieu tant que les États-Unis seraient complices de l'agression «israélienne» contre l'Iran.

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