Grèce: la zone euro réunie pour un sommet de tous les dangers

Deux jours après le choc du référendum grec, les pays de la zone euro se retrouvent à partir de 16h00 GMT pour un sommet crucial à Bruxelles afin d’explorer les minces chances de sauvetage d'une Grèce en état d'urgence financière.
Ce sommet extraordinaire sera précédé à 11h00 GMT par une réunion des ministres des Finances de la zone euro qui doivent discuter des conséquences du «non» au plan des créanciers et de la mise en place éventuelle d'un troisième plan d'aide pour Athènes.
Lundi, l'Allemagne et la France se sont efforcées de masquer leurs divergences d'approche du dossier grec et de présenter une position commune face au Premier ministre grec Alexis Tsipras.
La chancelière a ainsi jugé «urgent» d'obtenir du gouvernement grec des «propositions tout à fait précises» tandis que le président français demandait des propositions «sérieuses».
Mais Hollande, fidèle à la position conciliatrice que veut adopter la France, a répété que la porte restait «ouverte» aux discussions et a insisté sur la notion de «solidarité».
Washington appelle Athènes et l'UE à trouver un compromis
La Maison Blanche a appelé lundi les dirigeants de l'Union européenne et ceux de la Grèce à trouver un compromis afin de permettre à cette dernière de rester dans la zone euro, au lendemain de la victoire du «non» au référendum grec.
«Le référendum est terminé mais notre vision reste la même», a expliqué Josh Earnest, porte-parole de la Maison Blanche, jugeant qu'il était dans l'intérêt des deux parties de trouver une solution «qui permette à la Grèce de rester dans la zone euro». «La tâche à laquelle les dirigeants européens sont confrontés reste la même», a-t-il martelé.
Earnest a appelé les deux parties «à se mettre d'accord sur un ensemble de réformes et un financement qui permettent à la Grèce d'être sur la voie d'une gestion durable de sa dette, mais aussi d'une croissance économique».
Les banques grecques resteront fermées au moins jusqu'à mercredi, et les mesures de contrôle des capitaux seront maintenues. Cet état d'urgence financier empêche la banqueroute immédiate, mais aggrave de jour en jour l'asphyxie économique du pays.
Source: agences et rédaction
Ce sommet extraordinaire sera précédé à 11h00 GMT par une réunion des ministres des Finances de la zone euro qui doivent discuter des conséquences du «non» au plan des créanciers et de la mise en place éventuelle d'un troisième plan d'aide pour Athènes.

Lundi, l'Allemagne et la France se sont efforcées de masquer leurs divergences d'approche du dossier grec et de présenter une position commune face au Premier ministre grec Alexis Tsipras.
La chancelière a ainsi jugé «urgent» d'obtenir du gouvernement grec des «propositions tout à fait précises» tandis que le président français demandait des propositions «sérieuses».
Mais Hollande, fidèle à la position conciliatrice que veut adopter la France, a répété que la porte restait «ouverte» aux discussions et a insisté sur la notion de «solidarité».
Washington appelle Athènes et l'UE à trouver un compromis
La Maison Blanche a appelé lundi les dirigeants de l'Union européenne et ceux de la Grèce à trouver un compromis afin de permettre à cette dernière de rester dans la zone euro, au lendemain de la victoire du «non» au référendum grec.
«Le référendum est terminé mais notre vision reste la même», a expliqué Josh Earnest, porte-parole de la Maison Blanche, jugeant qu'il était dans l'intérêt des deux parties de trouver une solution «qui permette à la Grèce de rester dans la zone euro». «La tâche à laquelle les dirigeants européens sont confrontés reste la même», a-t-il martelé.
Earnest a appelé les deux parties «à se mettre d'accord sur un ensemble de réformes et un financement qui permettent à la Grèce d'être sur la voie d'une gestion durable de sa dette, mais aussi d'une croissance économique».
Les banques grecques resteront fermées au moins jusqu'à mercredi, et les mesures de contrôle des capitaux seront maintenues. Cet état d'urgence financier empêche la banqueroute immédiate, mais aggrave de jour en jour l'asphyxie économique du pays.
Source: agences et rédaction
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