La Menace du Hezbollah en «Israël»: un danger accru
L'équipe du site
La menace des missiles du Hezbollah grandit en nombre, portée et précision, selon l'ex-ministre israélien de la guerre Moshe Arens, l'ex-ministre israélien de la guerre a mis en garde contre le danger nucléaire iranien, qui est un danger continu pour «Israël», surtout à la lumière de l'accord cadre nucléaire.
Dans un article publié dans le quotidien israélien «Haaretz», Arens a toutefois indiqué que «ce
n'est pas l'unique ni le plus grand danger sur Israël. S'y ajoutent les 100 mille missiles aux mains du Hezbollah au Liban, tous dirigés vers Israël. En plus de milliers de missiles chez le Hamas à Gaza. Tout ceci expose les habitants civils en Israël au danger. Mais quel est le danger majeur ?»
«Nous pouvons mesurer l'ampleur du danger si nous estimons la possibilité de l'offensive et le dommage qui pourrait s'effectuer par chacun de ces deux scénarios : le recours à l'arme nucléaire iranienne ou une offensive balistique de la part du Hezbollah. Ce sont deux hypothèses à prendre en compte», poursuit Arens.
Selon lui, «l'arme nucléaire iranienne aura des répercussions géographiques négatives au Moyen-Orient. Mais cette arme ne serait probablement pas utilisée. Par contre, la possibilité que le Hezbollah lance des missiles contre Israël est grande. Les positions qui avancent qu'Israël serait capable de dissuader un tel évènement ne sont pas solides. Ceci doit nous inquiéter tous».
L'ex-ministre a par ailleurs souligné que «pendant les années précédentes, notre commandement civil et militaire était préoccupé par l'obstruction du programme nucléaire iranien. Et par la suite la riposte d'Israël à la menace des missiles du Hezbollah était limitée. Le commandement s'est basé sur une faible théorie de dissuasion. En effet Israël a manqué l'occasion de détruire la capacité que possède le Hamas pour lancer des missiles durant l'offensive Bordure protectrice».
Et de souligner que «la menace des missiles du Hezbollah accroît aux niveaux du nombre, de la portée et de la précision». «Nous avons déployé tous les efforts possibles pour interdire le transport d'armes au Hezbollah que ce soit de l'Iran ou de la Syrie. Mais en effet la capacité de l'organisation s'est accentuée. Elle peut causer de grandes pertes parmi les habitants, les infrastructures de base et les bases militaires en Israël. Nous devons le dire clairement : l'espoir qu'Israël pourrait lutter contre les capacités du Hezbollah ne représente jamais une stratégie convenable», a-t-il poursuivi.
«Une stratégie efficace pour protéger les citoyens civils de la menace des missiles se base essentiellement sur un seul facteur indispensable : la capacité de l'armée israélienne de désactiver la puissance militaire du Hezbollah pendant 24 à 48 heures au maximum. De ce fait seulement Israël aurait des choix multiples pour se débarrasser de cette menace», avance Arens.
La menace des missiles du Hezbollah grandit en nombre, portée et précision, selon l'ex-ministre israélien de la guerre Moshe Arens, l'ex-ministre israélien de la guerre a mis en garde contre le danger nucléaire iranien, qui est un danger continu pour «Israël», surtout à la lumière de l'accord cadre nucléaire.
Dans un article publié dans le quotidien israélien «Haaretz», Arens a toutefois indiqué que «ce
n'est pas l'unique ni le plus grand danger sur Israël. S'y ajoutent les 100 mille missiles aux mains du Hezbollah au Liban, tous dirigés vers Israël. En plus de milliers de missiles chez le Hamas à Gaza. Tout ceci expose les habitants civils en Israël au danger. Mais quel est le danger majeur ?»«Nous pouvons mesurer l'ampleur du danger si nous estimons la possibilité de l'offensive et le dommage qui pourrait s'effectuer par chacun de ces deux scénarios : le recours à l'arme nucléaire iranienne ou une offensive balistique de la part du Hezbollah. Ce sont deux hypothèses à prendre en compte», poursuit Arens.
Selon lui, «l'arme nucléaire iranienne aura des répercussions géographiques négatives au Moyen-Orient. Mais cette arme ne serait probablement pas utilisée. Par contre, la possibilité que le Hezbollah lance des missiles contre Israël est grande. Les positions qui avancent qu'Israël serait capable de dissuader un tel évènement ne sont pas solides. Ceci doit nous inquiéter tous».
L'ex-ministre a par ailleurs souligné que «pendant les années précédentes, notre commandement civil et militaire était préoccupé par l'obstruction du programme nucléaire iranien. Et par la suite la riposte d'Israël à la menace des missiles du Hezbollah était limitée. Le commandement s'est basé sur une faible théorie de dissuasion. En effet Israël a manqué l'occasion de détruire la capacité que possède le Hamas pour lancer des missiles durant l'offensive Bordure protectrice».
Et de souligner que «la menace des missiles du Hezbollah accroît aux niveaux du nombre, de la portée et de la précision». «Nous avons déployé tous les efforts possibles pour interdire le transport d'armes au Hezbollah que ce soit de l'Iran ou de la Syrie. Mais en effet la capacité de l'organisation s'est accentuée. Elle peut causer de grandes pertes parmi les habitants, les infrastructures de base et les bases militaires en Israël. Nous devons le dire clairement : l'espoir qu'Israël pourrait lutter contre les capacités du Hezbollah ne représente jamais une stratégie convenable», a-t-il poursuivi.
«Une stratégie efficace pour protéger les citoyens civils de la menace des missiles se base essentiellement sur un seul facteur indispensable : la capacité de l'armée israélienne de désactiver la puissance militaire du Hezbollah pendant 24 à 48 heures au maximum. De ce fait seulement Israël aurait des choix multiples pour se débarrasser de cette menace», avance Arens.
«Israël»: Nouveau suicide dans les rangs de l’armée
depuis 4 heures
//