Netanyahu assuré d’une majorité claire pour former le «gouvernement»

Benjamin Netanyahu devrait recevoir officiellement cette semaine du président israélien Reuven Rivlin la tâche de former le prochain «gouvernement» après s’être assuré le soutien d’une claire majorité de droite au «Parlement».
«Soixante-sept parlementaires sur un total de 120 ont soutenu le Premier ministre sortant auprès du président Rivlin pour qu’il le charge de former le nouveau cabinet», a dit le porte-parole de la «présidence» Jason Pearlman.
Rivlin devrait inviter cette semaine Netanyahu, en poste depuis 2009, pour le charger officiellement de la formation du «gouvernement». Cela pourrait être dès mercredi,
après la publication officielle des résultats des élections législatives du 17 mars.
Mais avant de se préparer à former son prochain «gouvernement», Netanyahu a tenté d’«atténuer les critiques» en présentant publiquement ses «excuses» pour avoir dénoncé le «danger» de la mobilisation massive des Palestiniens dans les territoires occupés en 1948 aux élections.
Juste avant la fermeture des bureaux de vote, Netanyahu avait lancé un appel pour inciter les partisans du «Likoud», son parti, à aller voter. «Le pouvoir de la droite est en danger. Les électeurs arabes arrivent en masse aux urnes. Les associations de gauche les amènent avec des autobus».
«Je sais que mes déclarations la semaine dernière ont offensé certains citoyens israéliens et des membres de la communauté des +Arabes israéliens+. Cela n’a jamais été mon intention. Je présente mes excuses pour cela», a-t-il dit.
Mettre fin à «50 ans d’occupation»
Revenant à la charge lundi, la Maison Blanche a appelé à mettre fin à une «occupation qui dure depuis près de 50 ans», martelant son attachement à une «solution à deux Etats», israélien et palestinien.
Après sa victoire aux élections, Netanyahu avait assuré qu’«il n’était en réalité pas opposé à l’idée d’un Etat palestinien», mais qu’il fallait «que les conditions changent». Cela n’a pas convaincu l’allié américain.
Si, comme c’est probable, le «gouvernement» est conforme à la majorité parlementaire qui soutient Netanyahu, il devrait pencher nettement plus à droite que le précédent.
Netanyahu a rallié le soutien des députés du «Likoud», des partis nationalistes «Foyer juif» et «Israël Beiteinou», des formations ultra-orthodoxes «Shass» et «Liste Unifiée de la Torah» et du parti de centre droit «Koulanou».
Les ultra-orthodoxes devraient revenir au «gouvernement» mais les formations centristes de Tzipi Livni et Yaïr Lapid devraient en sortir.
Source: agences et rédaction
«Soixante-sept parlementaires sur un total de 120 ont soutenu le Premier ministre sortant auprès du président Rivlin pour qu’il le charge de former le nouveau cabinet», a dit le porte-parole de la «présidence» Jason Pearlman.
Rivlin devrait inviter cette semaine Netanyahu, en poste depuis 2009, pour le charger officiellement de la formation du «gouvernement». Cela pourrait être dès mercredi,

Mais avant de se préparer à former son prochain «gouvernement», Netanyahu a tenté d’«atténuer les critiques» en présentant publiquement ses «excuses» pour avoir dénoncé le «danger» de la mobilisation massive des Palestiniens dans les territoires occupés en 1948 aux élections.
Juste avant la fermeture des bureaux de vote, Netanyahu avait lancé un appel pour inciter les partisans du «Likoud», son parti, à aller voter. «Le pouvoir de la droite est en danger. Les électeurs arabes arrivent en masse aux urnes. Les associations de gauche les amènent avec des autobus».
«Je sais que mes déclarations la semaine dernière ont offensé certains citoyens israéliens et des membres de la communauté des +Arabes israéliens+. Cela n’a jamais été mon intention. Je présente mes excuses pour cela», a-t-il dit.
Mettre fin à «50 ans d’occupation»
Revenant à la charge lundi, la Maison Blanche a appelé à mettre fin à une «occupation qui dure depuis près de 50 ans», martelant son attachement à une «solution à deux Etats», israélien et palestinien.
Après sa victoire aux élections, Netanyahu avait assuré qu’«il n’était en réalité pas opposé à l’idée d’un Etat palestinien», mais qu’il fallait «que les conditions changent». Cela n’a pas convaincu l’allié américain.
Si, comme c’est probable, le «gouvernement» est conforme à la majorité parlementaire qui soutient Netanyahu, il devrait pencher nettement plus à droite que le précédent.
Netanyahu a rallié le soutien des députés du «Likoud», des partis nationalistes «Foyer juif» et «Israël Beiteinou», des formations ultra-orthodoxes «Shass» et «Liste Unifiée de la Torah» et du parti de centre droit «Koulanou».
Les ultra-orthodoxes devraient revenir au «gouvernement» mais les formations centristes de Tzipi Livni et Yaïr Lapid devraient en sortir.
Source: agences et rédaction
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