Deux extrémistes belges meurent en Syrie

Deux combattants extrémistes belges ont à nouveau perdu la vie en Syrie. L'un d'eux est Ilyass Boughalab, âgé de 26 ans, qui a eu accès à la centrale nucléaire de Doel, où il a travaillé pendant des années en tant que technicien jusqu'à son départ en novembre 2012 pour la Syrie, révèlent plusieurs quotidiens néerlandophones jeudi.
Ilyass Boughalab, originaire de Borgerhout et prévenu au procès Shariah4Belgium, qui a lieu actuellement à Anvers, est décédé en mars dernier. Mais la nouvelle de son décès n'a été rendue publique que ce mercredi. En Syrie, son nom de combattant était Abu Ubayda al-Mahgribi ou Jarah al-Beljiki. Quant au second terroriste mort en Syrie, on ne connaît que son nom de combattant: Abu Yahya al-Beljiki.
Ilyass Boughalab a travaillé pendant trois ans en tant que technicien pour la société Vinçotte de Wilrijk, qui fournit des certificats de conformité et mène des inspections afin de vérifier si la centrale répond aux normes. Il avait ainsi accès à la zone sécurisée de Doel, soit l'endroit où se trouve le réacteur nucléaire.
La Belgique, comme d'autres pays européens, s'inquiète du nombre croissant de ses ressortissants qui vont combattre dans les rangs des groupes armés terroristes en Syrie et en Irak et risquent de rentrer au pays encore plus endurcis et radicalisés.
Dans une analyse publiée dimanche par le Washington Post, om estime à 296 les extrémistes belges partis en Syrie. La Belgique a déjà connu une dizaine de procès pour terrorisme, dont le plus important est celui des membres du groupe terroriste ShariaBelguim.
Source : agences et rédaction
Ilyass Boughalab, originaire de Borgerhout et prévenu au procès Shariah4Belgium, qui a lieu actuellement à Anvers, est décédé en mars dernier. Mais la nouvelle de son décès n'a été rendue publique que ce mercredi. En Syrie, son nom de combattant était Abu Ubayda al-Mahgribi ou Jarah al-Beljiki. Quant au second terroriste mort en Syrie, on ne connaît que son nom de combattant: Abu Yahya al-Beljiki.

Ilyass Boughalab a travaillé pendant trois ans en tant que technicien pour la société Vinçotte de Wilrijk, qui fournit des certificats de conformité et mène des inspections afin de vérifier si la centrale répond aux normes. Il avait ainsi accès à la zone sécurisée de Doel, soit l'endroit où se trouve le réacteur nucléaire.
La Belgique, comme d'autres pays européens, s'inquiète du nombre croissant de ses ressortissants qui vont combattre dans les rangs des groupes armés terroristes en Syrie et en Irak et risquent de rentrer au pays encore plus endurcis et radicalisés.
Dans une analyse publiée dimanche par le Washington Post, om estime à 296 les extrémistes belges partis en Syrie. La Belgique a déjà connu une dizaine de procès pour terrorisme, dont le plus important est celui des membres du groupe terroriste ShariaBelguim.
Source : agences et rédaction
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