Frappes aériennes contre «Daech»: Le Pentagone a dépensé jusqu’à présent 1.1 milliards $
Le Pentagone a annoncé avoir dépensé jusqu'à présent 1.1 milliards de dollars dans ses opérations militaires en Irak et en Syrie. Des responsables américains ont en outre indiqué que l'armée américaine avait utilisé pour la première fois des hélicoptères en Irak dimanche et lundi.
Selon le Pentagone, les attaques menées depuis la mer, surtout en ce qui concerne les tirs de
missiles Tomahawk ont coûté jusqu'à présent 62 millions de dollars. «La marine américaine a tiré, depuis le lancement de l'opération à la mi-juin, environ 189 missiles et roquettes dont 47 étaient des missiles de croisière, tirés à partir des navires US», a annoncé, lundi, le commandement central américain. «L'aviation américaine a utilisé dans la même période environ 1000 missiles, bombe et roquettes» toujours selon le commandement central des Etats-Unis.
Parallèlement, des responsables de l'armée américaine ont annoncé lundi que seuls 10% des près de 2.000 raids menés en Irak et en Syrie contre le soi-disant «Etat islamique» (EI ou Daech) depuis début août ont été réalisés par des pays arabes et d'autres alliés des Etats-Unis, dont la Belgique.Les appareils américains ont effectué 1.768 frappes aériennes depuis le 8 août, tandis que ceux des autres membres de la coalition internationale ont lancé 195 raids contre les extrémistes de «Daech» en Irak et en Syrie, selon un dernier décompte effectué dimanche soir, ont expliqué des responsables militaires américains. Mais les responsables du Pentagone ont insisté sur le fait que les pays arabes et européens participant à ces raids allaient être davantage sollicités à l'avenir.Ces chiffres montrent pour la première fois le degré d'implication des pays arabes (Bahreïn, Jordanie, Qatar, Arabie saoudite, Emirats arabes unis) dans les frappes en Syrie depuis le 23 septembre, mettant en exergue le rôle dominant des Etats-Unis dans ces opérations. Ces cinq pays arabes ont rechigné jusqu'à présent à fournir les détails de leurs frappes en Syrie. La France, la Belgique, le Royaume-Uni, le Danemark, les Pays-Bas et l'Australie se sont également engagés aux côtés des Etats-Unis dans ces missions contre le groupe terroriste mais uniquement en Irak.
Source : agences
Selon le Pentagone, les attaques menées depuis la mer, surtout en ce qui concerne les tirs de
missiles Tomahawk ont coûté jusqu'à présent 62 millions de dollars. «La marine américaine a tiré, depuis le lancement de l'opération à la mi-juin, environ 189 missiles et roquettes dont 47 étaient des missiles de croisière, tirés à partir des navires US», a annoncé, lundi, le commandement central américain. «L'aviation américaine a utilisé dans la même période environ 1000 missiles, bombe et roquettes» toujours selon le commandement central des Etats-Unis. Parallèlement, des responsables de l'armée américaine ont annoncé lundi que seuls 10% des près de 2.000 raids menés en Irak et en Syrie contre le soi-disant «Etat islamique» (EI ou Daech) depuis début août ont été réalisés par des pays arabes et d'autres alliés des Etats-Unis, dont la Belgique.Les appareils américains ont effectué 1.768 frappes aériennes depuis le 8 août, tandis que ceux des autres membres de la coalition internationale ont lancé 195 raids contre les extrémistes de «Daech» en Irak et en Syrie, selon un dernier décompte effectué dimanche soir, ont expliqué des responsables militaires américains. Mais les responsables du Pentagone ont insisté sur le fait que les pays arabes et européens participant à ces raids allaient être davantage sollicités à l'avenir.Ces chiffres montrent pour la première fois le degré d'implication des pays arabes (Bahreïn, Jordanie, Qatar, Arabie saoudite, Emirats arabes unis) dans les frappes en Syrie depuis le 23 septembre, mettant en exergue le rôle dominant des Etats-Unis dans ces opérations. Ces cinq pays arabes ont rechigné jusqu'à présent à fournir les détails de leurs frappes en Syrie. La France, la Belgique, le Royaume-Uni, le Danemark, les Pays-Bas et l'Australie se sont également engagés aux côtés des Etats-Unis dans ces missions contre le groupe terroriste mais uniquement en Irak.
Source : agences
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