Turquie: la justice révèle l’implication des rebelles syriens dans l’utilisation des armes chimiques
Le parquet général turc a inculpé cinq personnes dans le crime de fournir des agents chimiques aux deux milices du front Al-Nosra et de la «brigade des Libres du Levant». L’acte d’accusation a évoqué des informations sur l’utilisation par l’organisation Al-Qaïda d’armes chimiques dans le passé.
Le quotidien turc Yurt a affirmé que l’acte d’accusation a montré que les groupes terroristes extrémistes, salafistes et wahhabites, sont actifs en Turquie dans la mobilisation au combat en
Syrie et en Égypte.
Selon le document du parquet général, le front Al-Nosra, affilié à l’organisation terroriste Al-Qaïda, aurait œuvré pour exécuter des opérations sécuritaires qui susciteraient un grand tapage. Il a affirmé que les rebelles assurent à leurs homologues des produits chimiques utilisés dans la fabrication du gaz Sarin et d’autres matières chimiques dangereuses. L’acte d’accusation a montré la relation entre les personnes détenues à Adana dans le cadre de l’affaire, avec les organisations terroristes et leurs dirigeants en Syrie.
Selon les informations turques, parmi les inculpés une personne portant un passeport syrien, résidente en Arabie Saoudite, ainsi que d’autres portant des passeports falsifiés.
Une de ses personnes, un étranger, cherchait à obtenir des armes chimiques et des engins pour fabriquer des explosifs et les développer.
Toujours selon ces informations à la disposition de la justice turque, l’utilisation par les membres du front Al-Nosra et de la brigade des «Libres du Levant» des armes chimiques, divulgue la relation de l’organisation Al-Qaïda avec ces armes et produits chimiques.
L’acte d’accusation a renfermé les résultats des analyses effectuées sur les produits chimiques saisis avec les inculpés à Adana. Ces analyses ont prouvé la possibilité de produire le gaz Sarin à partir de ces produits, qui devaient être envoyés à Alep, via la ville turque Kilis.
A rappeler que les services de renseignements turcs avaient annoncé en mai dernier, avoir arrêté 12 membres d’un groupe terroriste armé possédant des produits chimiques, en route vers la Syrie.
Source: Sites web, traduit par l'équipe du site
Le quotidien turc Yurt a affirmé que l’acte d’accusation a montré que les groupes terroristes extrémistes, salafistes et wahhabites, sont actifs en Turquie dans la mobilisation au combat en
Syrie et en Égypte.Selon le document du parquet général, le front Al-Nosra, affilié à l’organisation terroriste Al-Qaïda, aurait œuvré pour exécuter des opérations sécuritaires qui susciteraient un grand tapage. Il a affirmé que les rebelles assurent à leurs homologues des produits chimiques utilisés dans la fabrication du gaz Sarin et d’autres matières chimiques dangereuses. L’acte d’accusation a montré la relation entre les personnes détenues à Adana dans le cadre de l’affaire, avec les organisations terroristes et leurs dirigeants en Syrie.
Selon les informations turques, parmi les inculpés une personne portant un passeport syrien, résidente en Arabie Saoudite, ainsi que d’autres portant des passeports falsifiés.
Une de ses personnes, un étranger, cherchait à obtenir des armes chimiques et des engins pour fabriquer des explosifs et les développer.
Toujours selon ces informations à la disposition de la justice turque, l’utilisation par les membres du front Al-Nosra et de la brigade des «Libres du Levant» des armes chimiques, divulgue la relation de l’organisation Al-Qaïda avec ces armes et produits chimiques.
L’acte d’accusation a renfermé les résultats des analyses effectuées sur les produits chimiques saisis avec les inculpés à Adana. Ces analyses ont prouvé la possibilité de produire le gaz Sarin à partir de ces produits, qui devaient être envoyés à Alep, via la ville turque Kilis.
A rappeler que les services de renseignements turcs avaient annoncé en mai dernier, avoir arrêté 12 membres d’un groupe terroriste armé possédant des produits chimiques, en route vers la Syrie.
Source: Sites web, traduit par l'équipe du site
//