Iran: 627 martyrs et 4.870 blessés dans l’agression «israélienne», selon le ministère de la Santé

Par AlAhed avec agences
Le ministère iranien de la Santé a annoncé mercredi que 627 personnes ont été tombées en martyre et 4.870 autres blessées dans l'agression «israélienne» contre la République islamique d’Iran.
Hossein Kermanpour, porte-parole du ministère iranien de la Santé, a déclaré que les provinces de Téhéran et de Kermanshah comptent le plus grand nombre de martyrs et de blessés.
Les provinces du Khouzistan, du Lorestan, d’Ispahan, de Markazi, de l’Azerbaïdjan de l'Est, de Hamedan, de Zanjan et du Gilan se classent de la 3e à la 10e place en termes de nombre de martyrs et de blessés.
Selon M. Kermanpour, 86,1 % des martyrs ont perdu la vie sur place, tandis que 13,9 % sont tombés en martyre à leur arrivée à l’hôpital, ce qui témoigne de l'intensité destructrice de l’agression «israélienne».
L’agression non provoquée a commencé aux premières heures du 13 juin, lorsque «Israël» a lancé une série de frappes sur la capitale Téhéran et d'autres villes, assassinant plusieurs hauts commandants, scientifiques nucléaires et citoyens ordinaires iraniens.
L’entité sioniste et ses alliés occidentaux, en particulier les États-Unis, ont prétendu que les frappes visaient uniquement des installations militaires et nucléaires, ce que l’Iran dément fermement.
En réponse, l’Iran a lancé l’opération «Promesse honnête III», infligeant de lourds dégâts à l’infrastructure militaro-industrielle de l’entité «israélienne» dans les territoires occupés.
Le 22 juin, l’armée américaine a mené des frappes sur des sites nucléaires iraniens de Fordo, Natanz et Ispahan, en utilisant des bombardiers à longue portée et des missiles de croisière Tomahawk lancés depuis des plateformes navales.
Malgré l’ampleur de l’attaque américaine, une évaluation ultérieure a révélé que l’infrastructure nucléaire essentielle du pays restait en grande partie intacte.
Le lendemain soir, l’Iran a répliqué à l'agression américaine, en lançant une frappe de missiles sur la base aérienne d’Al-Udeid au Qatar, la plus grande base militaire américaine en Asie de l’Ouest.
Mardi matin, l’entité «israélienne», affaiblie et en difficulté, a été contrainte d’annoncer unilatéralement la fin de son agression, dans le cadre d’un accord négocié par Washington.
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