Document secret: Washington était au courant de la fondation de «Daech»
L'organisation «Judicial Watch» a dévoilé des secrets dangereux au sujet de la guerre contre la Syrie et du rôle américain dans la formation du groupe terroriste «Daech».
L'organisation a publié des documents qui étaient depuis le milieu de l'année 2011 dans l'archive
des ministres des affaires étrangères et de la guerre. Ces documents pris du consulat américain à Benghazi en Lybie parlent de l'évolution des groupes terroristes en Syrie, soutenus par certains pays du Conseil de coopération et la Turquie.
Ces documents dévoilés sous ordre de l'autorité judiciaire, prouvent que Washington était au courant de la fondation de «Daech» et de sa planification de fonder un émirat à l'est de la Syrie et à l'ouest de l'Irak. Washington a adopté le groupe, lui a envoyé des armes depuis la Lybie, et ne pourra pas démentir son rôle dans la formation de «l'émirat islamique» à l'est de la Syrie.
Des extraits traduits d'un document secret de l'agence des renseignements de la guerre contre la Syrie datant du 12 août 2012 confirment que :
a- Le Pentagone a déclaré en 2012 son soutien à l'émirat d'al-Qaïda en Syrie.
b- Le conflit sera confessionnel.
c- Les salafistes, les frères musulmans et al-Qaïda en Iraq sont les forces principales qui conduisent la rébellion en Syrie.
d- L'Occident, les pays du Golfe et la Turquie soutiennent l'opposition. Par contre la Russie, la Chine et l'Iran soutiennent le régime.
La Turquie envoie des armes aux groupes armés en Syrie
Parallèlement, l'ancien chef du département des renseignements militaires dans la présidence de l'état-major général en Turquie, Haqqi Bikin, a d'ailleurs assuré que les services de renseignement turcs envoient des armes aux groupes armés en Syrie.
Selon Bikin, la Turquie emploie des mercenaires dans ces opérations, par l'intermédiaire de pseudonymes d'entreprises qataries. Les armes sont ensuite transportées aux groupes terroristes «Daech» et «front d'al-Nosra». Le général retraité a insisté sur la nécessité de dévoiler les noms de ces entreprises.
Et de conclure que «les services de renseignement turcs travaillent en faveur du parti de la justice et du développement qui gouverne le pays, au lieu de travailler en faveur de l'Etat».
L'organisation a publié des documents qui étaient depuis le milieu de l'année 2011 dans l'archive
des ministres des affaires étrangères et de la guerre. Ces documents pris du consulat américain à Benghazi en Lybie parlent de l'évolution des groupes terroristes en Syrie, soutenus par certains pays du Conseil de coopération et la Turquie.Ces documents dévoilés sous ordre de l'autorité judiciaire, prouvent que Washington était au courant de la fondation de «Daech» et de sa planification de fonder un émirat à l'est de la Syrie et à l'ouest de l'Irak. Washington a adopté le groupe, lui a envoyé des armes depuis la Lybie, et ne pourra pas démentir son rôle dans la formation de «l'émirat islamique» à l'est de la Syrie.
Des extraits traduits d'un document secret de l'agence des renseignements de la guerre contre la Syrie datant du 12 août 2012 confirment que :
a- Le Pentagone a déclaré en 2012 son soutien à l'émirat d'al-Qaïda en Syrie.
b- Le conflit sera confessionnel.
c- Les salafistes, les frères musulmans et al-Qaïda en Iraq sont les forces principales qui conduisent la rébellion en Syrie.
d- L'Occident, les pays du Golfe et la Turquie soutiennent l'opposition. Par contre la Russie, la Chine et l'Iran soutiennent le régime.
La Turquie envoie des armes aux groupes armés en Syrie
Parallèlement, l'ancien chef du département des renseignements militaires dans la présidence de l'état-major général en Turquie, Haqqi Bikin, a d'ailleurs assuré que les services de renseignement turcs envoient des armes aux groupes armés en Syrie.
Selon Bikin, la Turquie emploie des mercenaires dans ces opérations, par l'intermédiaire de pseudonymes d'entreprises qataries. Les armes sont ensuite transportées aux groupes terroristes «Daech» et «front d'al-Nosra». Le général retraité a insisté sur la nécessité de dévoiler les noms de ces entreprises.
Et de conclure que «les services de renseignement turcs travaillent en faveur du parti de la justice et du développement qui gouverne le pays, au lieu de travailler en faveur de l'Etat».
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