Fusillade aux abords d’un rassemblement islamophobe au Texas

La police de Garland estimant que le véhicule des deux assaillants pouvait contenir des explosifs,

Le porte-parole de la police de la ville, Joe Harn, a expliqué lors d'une conférence de presse que la zone ne paraissait plus faire l'objet de menaces mais que des hélicoptères de la police patrouillaient.
L'identité des assaillants
Selon SITE, l'organisation qui s'est spécialisée dans la surveillance des sites extrémistes, un homme se revendiquant du groupe terroriste «Daech» a affirmé sur Twitter que l'attaque avait été perpétrée par deux sympathisants de l'organisation.
Dans une série de tweets datés du 3 mai, l'homme nommé «Abu Hussain Al-Britani», qui est selon SITE le nom de l'extrémiste britannique de «Daech» Junaid Hussain, affirme : «Deux de nos frères ont ouvert le feu contre l'exposition artistique du prophète Mahomet au Texas.» « Ils pensaient qu'ils étaient à l'abri des soldats de l'Etat islamique au Texas», ajoute-t-il.
Il avait auparavant retweeté ce qui paraît être un message de revendication des assaillants se qualifiant de «moudjahidine».
Le scénario de l'attaque de Garland rappelle les attaques en région parisienne qui ont fait 17 morts au total en janvier et notamment l'attentat contre l'hebdomadaire Charlie Hebdo qui a fait 12 morts. A la mi-février à Copenhague au Danemark, deux personnes avaient été tuées, et six, blessées, à quelques heures d'intervalle dans deux attaques visant un centre culturel où se trouvait un dessinateur qui avait caricaturé le prophète Mohammad.
Source : agences
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