Poutine: l’Occident n’aime la Russie que lorsqu’elle est faible
On a parfois l'impression que l'Occident n'aime la Russie que lorsqu'elle est faible et a besoin d'une aide humanitaire, a déclaré lundi le président russe Vladimir Poutine.
«J'ai parfois l'impression qu'ils ne nous aiment que lorsque nous avons besoin d'aide humanitaire. Dans ce cas, tout va bien, ils nous envoient des pommes de terre», a indiqué le chef de l'Etat russe dans une interview accordée à l'occasion du documentaire
«Président» qui sortira le 26 avril.
«Dans le monde, on avait décidé que la Russie cesserait d'exister sous son aspect actuel. La question était uniquement de savoir quand cela se produirait et quelles conséquences cela entraînerait», a indiqué le président russe.
Jeudi dernier, le président Poutine avait rassuré le peuple russe sur le niveau économique estimant que «le pire de la crise est passé».
Lors de la 13e séance de questions-réponses avec la population, il avait souligné que «les tentatives de nous nuire par le biais des sanctions sont vouées à l'échec».
Et de poursuivre: «Les sanctions ont permis de nettoyer le marché russe occupé par certains acteurs suite à l’adhésion à l’OMC. Elles ont aidé le gouvernement et la Banque centrale à assainir la politique économique du pays».
Selon le président russe, «les Etats-Unis n'ont pas besoin d'alliés, mais de vassaux. La Russie ne se voit pas intégrée à un tel système».
Source: agences et rédaction
«J'ai parfois l'impression qu'ils ne nous aiment que lorsque nous avons besoin d'aide humanitaire. Dans ce cas, tout va bien, ils nous envoient des pommes de terre», a indiqué le chef de l'Etat russe dans une interview accordée à l'occasion du documentaire
«Président» qui sortira le 26 avril.«Dans le monde, on avait décidé que la Russie cesserait d'exister sous son aspect actuel. La question était uniquement de savoir quand cela se produirait et quelles conséquences cela entraînerait», a indiqué le président russe.
Jeudi dernier, le président Poutine avait rassuré le peuple russe sur le niveau économique estimant que «le pire de la crise est passé».
Lors de la 13e séance de questions-réponses avec la population, il avait souligné que «les tentatives de nous nuire par le biais des sanctions sont vouées à l'échec».
Et de poursuivre: «Les sanctions ont permis de nettoyer le marché russe occupé par certains acteurs suite à l’adhésion à l’OMC. Elles ont aidé le gouvernement et la Banque centrale à assainir la politique économique du pays».
Selon le président russe, «les Etats-Unis n'ont pas besoin d'alliés, mais de vassaux. La Russie ne se voit pas intégrée à un tel système».
Source: agences et rédaction
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