La Turquie expulse neuf Britanniques voulant se rendre en Syrie

La Turquie a expulsé mardi neuf Britanniques arrêtés en tentant de se rendre en Syrie pour vraisemblablement y rejoindre les extrémistes de «Daech», a rapporté l'agence de presse progouvernementale Anatolie.
Les deux femmes et trois hommes ont été arrêtés le 1er avril dans la région d'Hatay, dans le sud de la Turquie, avec quatre enfants, dont un bébé d'un an.
Les ressortissants britanniques ont été conduits à Adana (sud), d'où ils devaient prendre un avion pour Antalya (sud) et de là partir pour la Grande-Bretagne, a précisé Anatolie, précisant qu'ils avaient été frappés d'une mesure d'interdiction de séjour en Turquie.
L'affaire a fait grand bruit en Grande-Bretagne quand il s'est avéré que l'un des enfants était le fils d'un élu local travailliste, Shakil Ahmed.
La Turquie est régulièrement accusée par ses partenaires occidentaux de ne pas empêcher le flux actuel des extrémistes voulant rejoindre «Daech».
Ankara a notamment été durement critiqué pour ne pas avoir empêché le passage de trois adolescentes britanniques en Syrie en février, parties y rejoindre «Daech».
La Turquie a récemment renforcé ses contrôles aux frontières et expulsé le mois dernier vers la Grande-Bretagne une jeune femme et trois adolescents britanniques soupçonnés de vouloir rejoindre les rangs des extrémistes.
Source: agences et rédaction
Les deux femmes et trois hommes ont été arrêtés le 1er avril dans la région d'Hatay, dans le sud de la Turquie, avec quatre enfants, dont un bébé d'un an.

Les ressortissants britanniques ont été conduits à Adana (sud), d'où ils devaient prendre un avion pour Antalya (sud) et de là partir pour la Grande-Bretagne, a précisé Anatolie, précisant qu'ils avaient été frappés d'une mesure d'interdiction de séjour en Turquie.
L'affaire a fait grand bruit en Grande-Bretagne quand il s'est avéré que l'un des enfants était le fils d'un élu local travailliste, Shakil Ahmed.
La Turquie est régulièrement accusée par ses partenaires occidentaux de ne pas empêcher le flux actuel des extrémistes voulant rejoindre «Daech».
Ankara a notamment été durement critiqué pour ne pas avoir empêché le passage de trois adolescentes britanniques en Syrie en février, parties y rejoindre «Daech».
La Turquie a récemment renforcé ses contrôles aux frontières et expulsé le mois dernier vers la Grande-Bretagne une jeune femme et trois adolescents britanniques soupçonnés de vouloir rejoindre les rangs des extrémistes.
Source: agences et rédaction
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