Poutine apparaît en public après dix jours d’absence
Le président russe Vladimir Poutine est apparu lundi en public près de Saint-Pétersbourg, mettant fin à dix jours d'une absence inhabituelle qui a suscité les rumeurs les plus folles et les plus farfelues.
Le chef de l'Etat russe est apparu à une rencontre avec son homologue kirghiz Almazbek Atambaïev, dans un salon du palais Constantin, près de Saint-Pétersbourg, a rapporté une journaliste de l'AFP.
Omniprésent de coutume dans les médias, le président russe, 62 ans, n'est pas réapparu en public depuis le 5 mars à l'occasion d'une conférence de presse avec le
Premier ministre italien, Matteo Renzi.
Il a annulé plusieurs événements la semaine dernière, notamment un voyage au Kazakhstan pour une rencontre trilatérale avec les présidents kazakh et bélarusse et la signature d'un accord de coopération avec l'Ossétie du Sud, région séparatiste de Géorgie.
Cette absence a provoqué une hystérie de rumeurs dans les médias russes et européens: coup d'Etat, opération de chirurgie esthétique ou naissance d'un enfant du président russe.
Les réseaux sociaux russes fourmillaient par ailleurs de plaisanteries morbides sur le sujet, le hashtag #Putinumer (#PoutineMort) devenant même un «sujet tendance» sur Twitter.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a patiemment démenti toutes ces rumeurs, affirmant que le président russe était «tout à fait en bonne santé».
La Russie célèbre cette semaine le premier anniversaire du retour de la péninsule ukrainienne de Crimée dans son giron, un an après un référendum populaire. Dans un documentaire intitulé: «Crimée. Retour à la patrie» et diffusé à la télévision publique russe dimanche, Vladimir Poutine a affirmé qu'il avait envisagé à l'époque de mettre les forces nucléaires russes en alerte face à une éventuelle intervention militaire occidentale.
Après le renversement du président Viktor Ianoukovitch en février 2014 et l'arrivée au pouvoir en Ukraine d'une coalition pro-européenne, les autorités de la république autonome ukrainienne de Crimée et de la ville de Sébastopol ont organisé un référendum à l'issue duquel plus de 90% des votants se sont prononcés en faveur de l'adhésion à la Fédération de Russie. Le 18 mars 2014, la Crimée et Sébastopol sont officiellement entrées au sein de la Russie.
Les autorités de Kiev, soutenues par l'Occident, ont dénoncé une annexion et proclamé la Crimée et Sébastopol «territoires occupés».
Source: agences et rédaction
Le chef de l'Etat russe est apparu à une rencontre avec son homologue kirghiz Almazbek Atambaïev, dans un salon du palais Constantin, près de Saint-Pétersbourg, a rapporté une journaliste de l'AFP.
Omniprésent de coutume dans les médias, le président russe, 62 ans, n'est pas réapparu en public depuis le 5 mars à l'occasion d'une conférence de presse avec le
Premier ministre italien, Matteo Renzi. Il a annulé plusieurs événements la semaine dernière, notamment un voyage au Kazakhstan pour une rencontre trilatérale avec les présidents kazakh et bélarusse et la signature d'un accord de coopération avec l'Ossétie du Sud, région séparatiste de Géorgie.
Cette absence a provoqué une hystérie de rumeurs dans les médias russes et européens: coup d'Etat, opération de chirurgie esthétique ou naissance d'un enfant du président russe.
Les réseaux sociaux russes fourmillaient par ailleurs de plaisanteries morbides sur le sujet, le hashtag #Putinumer (#PoutineMort) devenant même un «sujet tendance» sur Twitter.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a patiemment démenti toutes ces rumeurs, affirmant que le président russe était «tout à fait en bonne santé».
La Russie célèbre cette semaine le premier anniversaire du retour de la péninsule ukrainienne de Crimée dans son giron, un an après un référendum populaire. Dans un documentaire intitulé: «Crimée. Retour à la patrie» et diffusé à la télévision publique russe dimanche, Vladimir Poutine a affirmé qu'il avait envisagé à l'époque de mettre les forces nucléaires russes en alerte face à une éventuelle intervention militaire occidentale.
Après le renversement du président Viktor Ianoukovitch en février 2014 et l'arrivée au pouvoir en Ukraine d'une coalition pro-européenne, les autorités de la république autonome ukrainienne de Crimée et de la ville de Sébastopol ont organisé un référendum à l'issue duquel plus de 90% des votants se sont prononcés en faveur de l'adhésion à la Fédération de Russie. Le 18 mars 2014, la Crimée et Sébastopol sont officiellement entrées au sein de la Russie.
Les autorités de Kiev, soutenues par l'Occident, ont dénoncé une annexion et proclamé la Crimée et Sébastopol «territoires occupés».
Source: agences et rédaction
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