Un soldat français tué dans la nuit au Nord du Mali
Un sous-officier français du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi a été tué en opération dans la nuit de mercredi à jeudi dans le nord du pays, a annoncé l'Élysée dans un communiqué jeudi matin.
Le président français, François Hollande, a exprimé sa «profonde tristesse», saluant le «sacrifice de ce légionnaire français».
Il a exprimé sa «totale confiance» aux forces françaises engagées dans la lutte «contre les groupes armés terroristes».
La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à
huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.
Il a été tué par un «engin explosif improvisé» placé par un groupe extrémiste, a précisé le ministre français ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
«Il est mort pour la liberté du Mali, la sécurité du Mali, mais aussi pour la liberté, la sécurité de l'Europe et de la France», a-t-il dit sur BFMTV et RMC.
«Nous sommes en train de nous réorganiser pour avoir une conception régionale du contre-terrorisme», a expliqué le ministre, précisant que 1000 soldats français allaient être concentrés près de Gao et 3000 autres sur la «bande sahélo-saharienne».
Selon le ministre, «il restait au Nord la volonté d'un certain nombre de groupes de jihadistes de se reconstituer, ils sont beaucoup moins nombreux mais ils n'ont rien à perdre, ils laissent leur vie et donc il faut lutter de manière extrêmement précise contre toute forme de regroupement, de recrudescence des groupes jihadistes dans cette partie du Mali, bien au Nord et dans l'Adrar des Ifoghas».
La France est intervenue militairement en janvier 2013 aux côtés des forces maliennes pour déloger les combattants extrémistes qui contrôlaient alors les deux tiers du pays et menaçaient la capitale Bamako.
Source: agences et rédaction
Le président français, François Hollande, a exprimé sa «profonde tristesse», saluant le «sacrifice de ce légionnaire français».
Il a exprimé sa «totale confiance» aux forces françaises engagées dans la lutte «contre les groupes armés terroristes».
La mort de ce sous-officier du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi porte à
huit le nombre de pertes françaises au Mali depuis le début des opérations.Il a été tué par un «engin explosif improvisé» placé par un groupe extrémiste, a précisé le ministre français ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
«Il est mort pour la liberté du Mali, la sécurité du Mali, mais aussi pour la liberté, la sécurité de l'Europe et de la France», a-t-il dit sur BFMTV et RMC.
«Nous sommes en train de nous réorganiser pour avoir une conception régionale du contre-terrorisme», a expliqué le ministre, précisant que 1000 soldats français allaient être concentrés près de Gao et 3000 autres sur la «bande sahélo-saharienne».
Selon le ministre, «il restait au Nord la volonté d'un certain nombre de groupes de jihadistes de se reconstituer, ils sont beaucoup moins nombreux mais ils n'ont rien à perdre, ils laissent leur vie et donc il faut lutter de manière extrêmement précise contre toute forme de regroupement, de recrudescence des groupes jihadistes dans cette partie du Mali, bien au Nord et dans l'Adrar des Ifoghas».
La France est intervenue militairement en janvier 2013 aux côtés des forces maliennes pour déloger les combattants extrémistes qui contrôlaient alors les deux tiers du pays et menaçaient la capitale Bamako.
Source: agences et rédaction