Aux Etats-Unis, une figurine de Snowden pour la liberté de la presse
Une partie des recettes de cette poupée de l'ancien consultant de la NSA, vendue par un fabricant US pour 99 dollars, ira à la Fondation pour la liberté de la presse.
Un fabricant de poupées américain vient de lancer une figurine à l’effigie d’Edward Snowden, l’ex-consultant de la NSA accusé d’espionnage, dont une partie de la recette ira à une organisation pour la liberté de la presse.
La poupée de 30,5 cm de haut, avec lunettes et ordinateur portable, peut être vêtue d’un costume, d’un jean ou même d’une tenue militaire et est vendue au prix de départ de 99 dollars par ThatsMyFace.com.
Le fabricant de poupées à l’effigie de célébrités indique sur son site, sans plus d’explications, que les bénéfices de la vente seront reversés à la Fondation pour la liberté de la presse.
Edward Snowden, qui avait révélé les écoutes de l’Agence américaine de sécurité (NSA) et est depuis réfugié en Russie, est arrivé en janvier au conseil d’administration de cette Fondation.
Ni l’ancien consultant, ni la Fondation n’ont commandité cette poupée, précise le site qui vend aussi des poupées à l’effigie du fondateur de WikiLeaks Julian Assange ou d’hommes politiques américains.
La Fondation a fait savoir à l’AFP qu’elle «n’était pas le vendeur de poupées et n’avait pas été tenue au courant» de cette initiative.
Source: agences et rédaction
Un fabricant de poupées américain vient de lancer une figurine à l’effigie d’Edward Snowden, l’ex-consultant de la NSA accusé d’espionnage, dont une partie de la recette ira à une organisation pour la liberté de la presse.
La poupée de 30,5 cm de haut, avec lunettes et ordinateur portable, peut être vêtue d’un costume, d’un jean ou même d’une tenue militaire et est vendue au prix de départ de 99 dollars par ThatsMyFace.com.
Le fabricant de poupées à l’effigie de célébrités indique sur son site, sans plus d’explications, que les bénéfices de la vente seront reversés à la Fondation pour la liberté de la presse.
Edward Snowden, qui avait révélé les écoutes de l’Agence américaine de sécurité (NSA) et est depuis réfugié en Russie, est arrivé en janvier au conseil d’administration de cette Fondation.
Ni l’ancien consultant, ni la Fondation n’ont commandité cette poupée, précise le site qui vend aussi des poupées à l’effigie du fondateur de WikiLeaks Julian Assange ou d’hommes politiques américains.
La Fondation a fait savoir à l’AFP qu’elle «n’était pas le vendeur de poupées et n’avait pas été tenue au courant» de cette initiative.
Source: agences et rédaction
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