Poutine: Damas coopère activement sur les armes chimiques
Le président russe a affirmé mardi 8 octobre que la direction syrienne coopère activement sur les armes chimiques.
«Les doutes sur la réaction adéquate de la direction syrienne à la décision prise sur les armes chimiques ne se sont pas vérifiés. La direction syrienne s'est mise très activement à ce travail et agit de manière très transparente, en aidant les structures internationales», a déclaré M. Poutine en marge du sommet de l'Asie-Pacifique (APEC) à Bali en Indonésie.
«J'espère que ce travail va continuer au même rythme et de la même manière». Le président
russe a estimé que la destruction des armes chimiques peut être effectuée en un an.
«Nos relations n'ont jamais été à couteaux tirés. Quant à la Syrie, nos divergences étaient d'ordre tactique, les Etats-Unis ne souhaitant pas non plus qu'Al-Qaïda arrive au pouvoir en Syrie », a-t-il indiqué.
Et M. Poutine d'ajouter : Moscou et Washington s'assignaient des objectifs communs visant notamment à la stabilisation de la situation et à la démocratisation en Syrie, ainsi qu'à la création des conditions pour une vie normale de tous les gens habitant sur ce territoire, indépendamment de leur appartenance religieuse ou ethnique.
«C'est un pays complexe (...). Nos divergences ont porté et portent encore sur les moyens de réaliser ces objectifs, mais là aussi, vous pouvez constater un progrès considérable», a-t-il souligné.
Le président russe a déclaré avoir évoqué la situation en Syrie avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry au cours d'un bref entretien en marge du Forum.
«Nous en avons parlé avec le secrétaire d'Etat, notamment du démantèlement des armes chimiques en Syrie, de l'organisation du travail à effectuer dans cette voie et dans certaines autres», a-t-il indiqué.
Il a cité la reprise de négociations à Genève parmi les priorités du règlement syrien.
«Nous avons (avec les Etats-Unis) une compréhension réciproque quant aux démarches à entreprendre et la manière d'y procéder. Je suis très heureux que le président (Barack) Obama ait adopté une telle position. Ce n'était pas pour lui une décision facile, mais il l'a adoptée. Cela a permis d'éviter une tragédie», a-t-il conclu.
Source : Ria Novosti
«Les doutes sur la réaction adéquate de la direction syrienne à la décision prise sur les armes chimiques ne se sont pas vérifiés. La direction syrienne s'est mise très activement à ce travail et agit de manière très transparente, en aidant les structures internationales», a déclaré M. Poutine en marge du sommet de l'Asie-Pacifique (APEC) à Bali en Indonésie.
«J'espère que ce travail va continuer au même rythme et de la même manière». Le président
russe a estimé que la destruction des armes chimiques peut être effectuée en un an.«Nos relations n'ont jamais été à couteaux tirés. Quant à la Syrie, nos divergences étaient d'ordre tactique, les Etats-Unis ne souhaitant pas non plus qu'Al-Qaïda arrive au pouvoir en Syrie », a-t-il indiqué.
Et M. Poutine d'ajouter : Moscou et Washington s'assignaient des objectifs communs visant notamment à la stabilisation de la situation et à la démocratisation en Syrie, ainsi qu'à la création des conditions pour une vie normale de tous les gens habitant sur ce territoire, indépendamment de leur appartenance religieuse ou ethnique.
«C'est un pays complexe (...). Nos divergences ont porté et portent encore sur les moyens de réaliser ces objectifs, mais là aussi, vous pouvez constater un progrès considérable», a-t-il souligné.
Le président russe a déclaré avoir évoqué la situation en Syrie avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry au cours d'un bref entretien en marge du Forum.
«Nous en avons parlé avec le secrétaire d'Etat, notamment du démantèlement des armes chimiques en Syrie, de l'organisation du travail à effectuer dans cette voie et dans certaines autres», a-t-il indiqué.
Il a cité la reprise de négociations à Genève parmi les priorités du règlement syrien.
«Nous avons (avec les Etats-Unis) une compréhension réciproque quant aux démarches à entreprendre et la manière d'y procéder. Je suis très heureux que le président (Barack) Obama ait adopté une telle position. Ce n'était pas pour lui une décision facile, mais il l'a adoptée. Cela a permis d'éviter une tragédie», a-t-il conclu.
Source : Ria Novosti
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